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Naissance de Sausset-les-Pins en 1924
Les 30 ans de Sausset-les-Pins en 1954
Sausset-les-Pins fêtait ses 30 ans ainsi que le 1er anniversaire du mandat de Pierre Matraja.
Les 40 ans de Sausset-les-Pins en 1964Le port a été entièrement refait et c'est l'année de la création de la fête vénitienne par le comité des fêtes et par le comité de jumelage de la ville. Elle a lieu tous les ans le 14 août avec la retraite aux fambeaux, avec des chants provençaux avec le célèbre Coupo Santo, le défilé des pointus décorés, le feu d'artifice et la soirée musicale. Il faut savoir que le défilé de bateaux décorés a eu lieu la 1ère fois par l'association des plaisanciers du port et par le comité des fêtes en 1934.
Les 50 ans de Sausset-les-Pins en 1974
Le phare a changé de 1974 jusqu'en 2007.
Pose du nouveau phare du port en 2007
A l'occasion des 60 ans de Sausset-les-Pins, deux stèles ont été inaugurées le même jour en 1984.
Stèle inaugurée en 1984
Stèle inaugurée en 1984
Stèle inaugurée en 1984
Stèle inaugurée en 1984
L'avenue du Maréchal Leclerc a été inaugurée en 1984, elle était appelée avant La Corniche.
Les 70 ans de Sausset-les-Pins en 1994
Une carte postale a été tirée à des milliers d'exemplaires de l'imprimerie de Septèmes-les-Vallons.
A l'occasion des 80 ans de Sausset-les-Pins, une vidéo est sur Dailymotion a été réalisée sur de la ville. Des expositions ont eu lieu à la salle Eclipse du gymnase Alain Calmat de la ville.
A l'occasion des 90 ans de Sausset-les-Pins, un timbre et une enveloppe sont en vente dans tous les bureaux de tabac-presse et à la poste de la ville. Des expositions, des compétitions sportives, des activités de la ville sont d'actualité toute au long de l'année du 1er janvier au 31 décembre.
Enveloppe et timbre des 90 ans de Sausset-les-Pins
Sausset-les-Pins se métamorphose
L'hôtel LaffinL'hôtel, restaurant et bar Laffin a existé dans la commune de 1920 à 1930.L'aménagement du portL'hôtel Laffin dans les années 1920
L'hôtel Laffin dans les années 1920
L'hôtel Laffin dans les années 1920
La Réserve (1930 à 1987)
La Réserve était un hôtel, bar et restaurant, qui était situé dans le centre-ville de Sausset-les-Pins de 1930 à 1987.
La Réserve en 1932
La Réserve en 1932
Le Mileu Marseillais est passé par-là au temps de François Spirito (1900/1967) et de Paul Carbone (1894/1943) et ces derniers sont présents dans le film Borsolino avec Alain Delon et avec Jean-Paul Belmondo en 1970.
La Réserve en 1938
La Réserve en 1945La Réserve en 1970
Publicité de la Réserve dans les années 1970
Sa destruction en 1987
La destruction de la Réserve en 1987
La destruction de la Réserve en 1987
La destruction de la Réserve en 1987La destruction de la Réserve en 1987
La destruction de la Réserve en 1987
La destruction de la Réserve en 1987
En 1988, il y a eu le bar Le Capitole jusqu'en 1992 et en 1992, le Don Camillo a été construit.
La terrasse du don Camillo
Le centre-ville de Sausset-les-Pins au fil du temps
Devanture de la boucherie en 1955
Devanture de la boucherie en 1989
Intérieur de la boulangerie dans les années 1960
Devanture de la boulangerie dans les années 1960
L'hôtel Beau Rivage
L'hôtel Beau Rivage en 1945
Le garage et l'hôtel Beau Rivage à la fin des années 1950
Le garage et l'hôtel Beau Rivage en 1961
Centre-ville de Sausset-les-Pins dans les années 1960
Centre-ville de Sausset-les-Pins dans les années 1960
Le garage a été détruit pour être construit par un magasin de vêtement à la fin des années 1970 pour être ensuite remplacé par une agence immobilère depuis 1981.
Le centre-ville de Sausset-les-Pins dans les années 1970
Centre-ville de Sausset-les-Pins en 1983
Centre-ville de Sausset-les-Pins en 1983Intérieur du bar, restaurant et hôtel de la Côte Bleue en 1983
Intérieur du bar, restaurant et hôtel de la Côte Bleue en 1983
Intérieur du bar, restaurant et hôtel de la Côte Bleue en 1983
Centre-ville de Sausset-les-Pins en 1987
Centre-ville de Sausset-les-Pins en 1987
Centre-ville de Sausset-les-Pins en 1987Centre-ville de Sausset-les-Pins en 1987
Centre-ville de Sausset-les-Pins en 1987Centre-ville de Sausset-les-Pins en 1987
Centre-ville de Sausset-les-Pins en 1987
Centre-ville de Sausset-les-Pins en 1987Centre-ville de Sausset-les-Pins en 1995
Centre-ville de Sausset-les-Pins en 1995 Centre-ville de Sausset-les-Pins en 1995Centre-ville de Sausset-les-Pins en 2009
Centre-ville de Sausset-les-Pins en 2009
Centre-ville de Sausset-les-Pins en 2014
Centre-ville de Sausset-les-Pins en 2014
Centre-ville de Sausset-les-Pins en 2014Centre-ville de Sausset-les-Pins en 2014
Centre-ville de Sausset-les-Pins en 2014
L'aménagement du port
Le 16 avril 1933, l'association Les plaisanciers sausssétois est créée par Monsieur Gérard Dard (1875-1951), Président de l'Olympique de Marseille de 1905 à 1908 et de 1924 à 1938, dont la villa "L'Olympique", 13 rue Pasteur, n'a pas changé depuis 1934.
Villa "L'Olympique"
L'aménagement du port au fil du temps
L'hôtel-restaurant La Plage
L'hôtel-restaurant La Plage existe depuis 1870 et c'est un des plus vieux hôtels de la ville et il est toujours en activité.
L'hôtel La Plage en 1908
L'hôtel La Plage en 1952
L'hôtel La Plage en 1982
L'hôtel La Plage en 1987
L'hôtel La Plage en 1989
L'hôtel La Plage dans les années 1980
L'hôtel La Plage en 1990
L'hôtel La Plage en 2004
L'hôtel La Plage en 2005
L'hôtel La Plage en 2014
Le port évolue au fil du temps
Le port en 1903Le port en 1908
Le port en 1936
L'hôtel La Plage en 1952
Le port en 1953
Le port en 1963
Le port en 1963Voici les photos du port entre 1974 et 1978 avant les travaux qui allaient avoir lieu entre 1979 et 1986 pendant le mandat de Pierre Matraja, maire de l'époque de 1953 à 1991.
Solarium du port en 1974
Solarium du port en 1974
Solarium du port en 1978
La tempête en novembre 1982
La tempête en novembre 1982Le port sous la neige en 1984 ou 1985
Le port en 1984
Sculpture des mouettes inaugurée lors des 60 ans de la ville
Sculpture des mouettes inaugurée lors des 60 ans de la ville
Travaux du nouveau port en 1985
Travaux du nouveau port en 1985
Travaux du nouveau port en 1985
Travaux du nouveau port en 1985
Travaux du nouveau port en 1985
Le port en 1985
Le port en 1985
Stèle inaugurée en mars 1986
Le nouveau port a été inauguré le 3 octobre 1986
Le port en 1987Le port en 1989
Le port en 1989
Vue aérienne du port dans les années 1980
Le port en 1990
Le port en 1994
Le port en 2014
Le port en 2014
En 1980, le comité de jumelage a été créé en même jour que la ville de Sausset-les-Pins est jumelée avec Lariano,en Italie. Pierre Matraja était à l'origine du jumelage avec l'aide de Jean Artigas (1935/2013), un catalan espagnol, fier d'habiter à Sausset-les-Pins depuis des décennies.
Armoriaux du jumelage de Lariano et de Sausset-les-Pins en 1980
Cérémonie du jumelage à Lariano en 1980
Cérémonie du jumelage à Lariano en 1980Jean Artigas (1935/2013) à Sausset-les-Pins en 1980
Joseph Farhi et Marius Conte à Lariano en 1980, ville où a été signé le jumelage.
Plaque commémorative à la salle des arts et de la culture des 10 ans du jumelage avec Lariano
En direction de Sausset-les-Pins en 2014Sans Jean Artigas, Pierre Matraja, Marius Conte, Jospeh Farhi, Martine Falcone et d'autres personnes dont j'ai oublié les noms, Sausset-les-Pins ne serait jamais jumelée.
La ville de Sausset-les-Pins est jumelée en 2009 avec Altshausen (Allemagne) et avec Sentmenat (Espagne) en 2010.
Sausset-les-Pins, une ville sportive
Avant de commencer de parler un peu de sport, quand on parle Provence, on parle pétanque.
Sausset-les-Pins avait atteint le sommet par le nombre de victoires et a donc atteint son apogée dans les années 1960 jusque dans les années 1980.Dans les bars de la ville, on affichait fièrement les fanions, les écharpes, les photos de l'équipe de foot de la ville.Le stade se trouvait à l'emplacement de l'actuel gymnase Alain Calmat inauguré en avril ou mai 1990.Voici les preuves en images du stade et la ferveur des supporters.Equipe de foot 1982-1983Equipe de foot 1984-1985Inauguration du stade Michel Hidalgo en 1989Equipe de foot 1994-1995
Un autre sport, où il y a une bonne de tennismen et tenniswomen au Tennis Club de la Côte Bleue créée par Monsieur Agopian en 1974, 3 ans après, les premiers coups de tractopelle du chantier du Grand Vallat début des années 1970.
Tennismen en 1992(Indice : Une personne sur cette photo est très connue et il se reconnaîtra sans difficulté).L'éducation à Sausset-les-PinsL'école se trouvait à l'actuelle mairie et l'actuelle poste.
Beaucoup d'enfants de l'ancienne génération sont passés par là. Sausset-les-Pins était un hameau de Carry-le-Rouet, il a fallu attendre mars 1924 pour la ville ait son indépendance.
Sausset-les-Pins comptait presque 330 habitants en 1921.
Ecole en 1921
La première poste a été inaugurée en 1925 en présence du sénateur-maire de Marseille, Simon Flaissière.
Le 5/12/1946, un bureau de poste de plein exercice est créé et installé à côté du présbytère dans le local qui servait autrefois de garage pour les voitures des clients de l'Hôtel Beau Rivage.
Ecole vue de profil en 1909
Il a fallu attendre 1960 pour avoir une école sur l'emplacement du camping de la Villa Philippon (où se trouve actuellement la résidence des Rives d'Or), avant l'aménagement du camping de l'Hermitage (Camping qui a existé de 1958 à 1986).
Sausset-les-Pins comptait presque 1 100 habitants en 1960.
Photo de classe en 1951
Photo de classe en 1958-1959
Ecole Jules Ferry en 1960
Ecole Jules Ferry en 1965
Photo de classe en 1965-1966
Photo de classe en 1974-1975
Photo de classe en 1977-1978
Photo de classe en 1986-1987
Il a fallu attendre 1985 pour qu'un autre groupe scolaire soit inauguré.
Sausset-les-Pins comptait presque 6 000 habitants en 1985.
Inauguration du groupe scolaire Victor Hugo lundi 28 octobre 1985
Finalement, Sausset-les-Pins comptait presque 7 000 habitants en 1992-1993, il ne manquait plus un collège pour satisfaire la population.
Fermeture définitive du collège Pablo Picasso à Martigues en juin 1992 pour effrondrement suite à des malfaçons de construction : inondations dans le collège, fuite des tuyaux, terrain non remblayé, qui pouvait s'effrondrer à tout moment.
Pour la fin de l'histoire, le collège est resté debout pendant 17 ans de 1975 à 1992.
Il a été reconverti entre temps en conservatoire de musique et de danse.
Etapes de la construction du collège de Sausset-les-Pins
Juillet 1992
Lancemlent du concours
Etablissement des pièces écrites par la D.B.A.
Août 1992
Jury du concours pour retenir le Maïtre d'oeuvre
Octobre 1992
Choix du lauréat
Novembre 1992
Permis de construire
Mise au point du marché
Décembre 1992
Début des travaux
Avril 1993
Bâtiment hors d'eau
Août 1993
Réception des travaux
Septembre 1993
Première rentrée des classes
21 octobre 1993
Inauguration du Collège Pierre Matraja
Déjà 21 ans, le collège a été inauguré comme le temps passe vite.
Projet du collège
Construction du collège
Inauguration du collège le 21 octobre 1993
Dame Nature se déchaîne
Neige en 1963
La tempête du 7 novembre 1982
La tempête du 7 novembre 1982
Les rafales de vent ont été enregistrées au Cap Couronne à 136 km/h environ.
La neige en 1984 ou 1985 ?
La neige à Sausset-les-Pins le 17 janvier 1987
La neige à Sausset-les-Pins le 17 janvier 1987
La neige à Sausset-les-Pins du 17 janvier 1987
La neige à Sausset-les-Pins du 17 janvier 1987
La neige à Sausset-les-Pins du 17 janvier 1987La neige à Sausset-les-Pins du 17 janvier 1987
Les canicules de 1976, 1988 et de 2003 ont été des évènements marquants dans la région comme de partout en Europe.
La neige en 2009
La neige en 2009
La neige en 2009
La neige en 2009
La neige en 2009
La neige en 2009
La neige en 2009La neige en 20091985 et 2012, des années exceptionnelles
1985 et 2012 sont des années de la vague de froid partout en Europe et sans oublier notre belle Provence avec son mistral qui a fait fléchir les températures.
La neige en 2012
La neige a été l'invitée sur la Provence le 6 février 2012La neige du 6 février 2012
La neige du 6 février 2012
La neige du 6 février 2012
La grêle du 27 janvier 2014
La grêle du 27 janvier 2014
La grêle du 27 janvier 2014
La grêle du 27 janvier 2014
La grêle du 27 janvier 2014
Inondations à Martigues du 9/11/2014Inondations à Martigues du 9/11/2014
Inondations à Martigues du 9/11/2014
Inondations à Martigues du 9/11/2014
Inondations entre Carry et Sausset du 9/11/2014
Inondations entre Carry et Sausset du 9/11/2014
Inondations vers le Grand Vallat à Sausset du 9/11/2014
Record à Sausset-les-Pins en août 1975
Le train de la Côte Bleue
Plan de la ligne de chemin de fer de Marseille à Miramas via Port-de-BoucDescription
La ligne de Miramas à l'Estaque, parfois surnommée ligne de la Côte Bleue, est une ligne ferroviaire française à voie normale du département des Bouches-du-Rhône qui constitue un itinéraire alternatif à la section de Miramas à l'Estaque de la ligne de Paris-Lyon à Marseille-Saint-Charles en passant par Port-de-Bouc et en longeant la Côte Bleue.
Elle constitue la ligne 935 000 du réseau ferré national.
Histoire
Dès le milieu du XIXème siècle, il existe une ligne principale d'Avignon à Marseille qui traverse le Massif de l'Estaque entre l'Étang de Berre et l'Estaque, au nord de Marseille, par le tunnel de la Nerthe. Achevée le 8 janvier 1848, elle a été construite sur les plans de l'architecte Paulin Talabot.
À la fin de la guerre franco-prussienne de 1870, la Compagnie des chemins de fer de Paris à Lyon et à la Méditerranée (PLM) envisage de doubler partiellement la ligne entre Miramas et Marseille en cas de problème dans le tunnel de la Nerthe. Le tracé retenu, dit « par Port-de-Bouc », contourne l'Étang de Berre par l'ouest, traverse la passe de Caronte près de Martigues, puis longe la Côte Bleue jusqu'à l'Estaque. C'est un des trois trajets qui avaient été antérieurement proposés pour la construction de la ligne de Paris-Lyon à Marseille-Saint-Charles, malgré la difficulté du tracé.
La ligne est concédée à titre éventuel à la Compagnie des chemins de fer de Paris à Lyon et à la Méditerranée (PLM) par une convention signée entre le Ministre des travaux publics et la compagnie le 26 mai 1883.
Cette convention est approuvée par une loi le 20 novembre suivant. Le 29 juin 1904, la loi d'utilité publique pour la construction de cette ligne est votée. L'enquête et les expropriations peuvent commencer. Depuis 1882, la Compagnie des Chemins de Fer Méridionaux exploitait une ligne à voie unique entre Miramas et Port-de-Bouc. En 1907, le PLM rachète cette ligne, et en 1908, double la voie et commence la construction entre Port-de-Bouc et l'Estaque.
Les plans de la ligne furent établis à Lyon par les services techniques du PLM, dirigés par l'ingénieur en chef Canat. Ils furent approuvés par le directeur du PLM, Gustave Noblemaire, en 1904. Paul Séjourné, nouvel ingénieur au PLM, supervisa la construction. La difficulté des travaux consistait au fait qu'il n'y a pas de plaine littorale ; la ligne est donc accrochée au flanc de la chaîne de l'Estaque.
La ligne Miramas à Port-de-Bouc est doublée en totalité le 1er juillet 1913 et la portion Port-de-Bouc - L'Estaque ouverte le 15 octobre 1915.
Lettre du 11 décembre 1913
La ligne a été électrifiée entre Miramas et Lavalduc, au sud d'Istres, où un embranchement a été construit pour donner accès au complexe pétrochimique et au port de Fos-sur-Mer. Le projet d'électrification en 1500 Volts en courant continu prévoyait une électrification totale de cette ligne, cependant, le nombre de tunnels à mettre au gabarit, étant rédhibitoire, l'électrification du tronçon entre Lavalduc et l'Estaque a été abandonnée, aussi pour des raisons de coûts (il fallait impérativement électrifier en 1500 Volts en courant continu, le 25KV alternatif, moins coûteux, aurait compliqué l'exploitation, contrairement à la Côte d'Azur).
Avec la généralisation des BGC 81000, ces véhicules bi-mode pourront, changer de mode en marche, au niveau de la bifurcation de Lavalduc, lorsque cette opération sera autorisée dans tous les dépôts gérant ces AGC, dont Marseille.
La ligne comprend 18 viaducs et 23 tunnels.
Le viaduc de Caronte, d'une longueur totale de 880 mètres, permet à la ligne de franchir la « passe » de Caronte, qui relie l'Étang de Berre au golfe de Fos.
Le viaduc des Eaux-salées et le viaduc de Corbières ont été construits sous la direction de Paul Séjourné.
Desserte
Les TER Provence-Alpes-Côte d'Azur assurent une bonne desserte des gares de la Côte Bleue et de Martigues et Istres : 14 circulations quotidiennes dans chaque sens en semaine, 10 les samedis, dimanches et fêtes, selon un horaire cadencé sur base horaire, en correspondance à Miramas avec les TER de ou vers Salon de Provence, Arles, Montpellier, Avignon et Lyon.
L'unique train direct, de nuit, de Paris à Marseille via Port-de-Bouc, surnommé ironiquement « le Parisien » par analogie au célèbre Phocéen, a été supprimé dans les années 1990.
L'été, un train touristique, mis en place par la Région, fonctionne sur la ligne. La ligne sert occasionnellement pour les détournements de trains en cas d'interruption sur la ligne via Rognac.
La Caravelle en gare de Sausset-les-Pins dans les années 1990
Les Éléments Automoteurs Doubles (EAD) sont une catégorie d'automoteurs français construits à 456 exemplaires de 1963 à 1981 dont le surnom est «La Caravelle ».
Répartition
4 grandes séries constituent la famille des EAD :
les X 4300,
les X 4500,
les X 4630,
et les X 4750 / X 4790.
On peut aussi y ajouter :
les X 4900 (éléments triples),
et les X 94750 (Rames Automotrices Postales)
On remarquera que l'abréviation EAD signifie aussi « éléments automoteurs doubles » ; cette désignation plus restrictive exclut les X 4900 qui sont alors désignés « éléments automoteurs triples » (EAT).
Le présent article concerne les éléments communs à tous les EAD. Pour les spécificités de chaque série, on se reportera utilement aux articles correspondants.
Description
Les EAD sont des ensembles indéformables en service courant, comprenant :
2 motrices encadrant une remorque pour les X 4900,
une motrice accouplée à une remorque (équipée d'une cabine de conduite).
Les différentes versions d'EAD se distinguent par la motorisation et le type de transmission :
Les X 4300 et X 4500, qui sont sortis simultanément, ont été relayés par les X 4630 puis les X 4750.
Très bien accueillis par le public, ces autorails furent surnommés « La Caravelles » en référence à l'avion Caravelle sorti d'atelier quelques années auparavant.
Le dessin des premiers éléments, comportant une large baie vitrée frontale et de nombreux enjoliveurs chromés, fut conservé jusqu'à nos jours sur une large partie de la série. Ceux-ci se reconnaissent à leur livrée rouge et crème avec un bandeau noir encadrant la baie frontale.
Toutes les séries peuvent faire partie de la même unité multiple, avec cependant un maximum de sept caisses.
À partir de 1987, une série de modernisations fut entreprise sur 114 éléments de la famille. Les aménagements intérieurs furent revus tout comme l'allure générale de l'engin, dont les baies frontales furent remplacées par des boucliers renforcés semblables à ceux des RRR ou des RIO modernisées. Les EAD modernisés ont reçu la première livrée TER à base de blanc et de la couleur choisie par chaque région (bleu, rouge, jaune ou vert). Cette modernisation, dite « modernisation lourde », est critiquée car elle alourdit sensiblement la caisse, alors que la motorisation, déjà limitée, n'a pas été renforcée.
Une modernisation plus légère de certains EAD a été lancée par certaines régions (Pays de la Loire en premier) et par la SNCF. Si la livrée est modifiée (livrée spécifique TER Pays de la Loire, première livrée TER à quatre couleurs ou nouvelle livrée TER gris et bleu), la caisse n'est pas modifiée et le bouclier n'est pas ajouté.
Service
Les EAD ont été conçus pour succéder à la série des X 3800 « Picasso » mais aussi pour renouveler un parc d'autorails français vieillissant, en partie constitué d'éléments des anciennes compagnies ou de matériel au confort peu adapté, afin d'exploiter les lignes secondaires du réseau.
Ils ont globalement circulé sur l'ensemble du réseau non électrifié. La répartition sur le territoire national s'est faite simplement en fonction des livraisons des quatre grandes séries, selon les besoins de remplacement des anciennes séries. On a pu voir des X 4500 en été 1972 sur l'« Alpazur » Genève - Grenoble - Veynes - Digne (ligne des Alpes) ainsi que dès le 01/10/1975 sur Valence - Grenoble - Chambéry - Culoz - Genève où ils ont circulé jusqu'au 27/09/1975 en étant remplacés dès le lendemain par des turbotrains ETG. La motorisation un peu plus puissante des X 4750 les a parfois conduits dans des régions plus accidentées, notamment dans les Vosges.
Les EAD les plus anciens (X 4300, X 4500 et X 4630) sont aujourd'hui en train de disparaître, remplacés par les X 72500 (X TER), X 73500 (A TER) et surtout par les AGC. Les X 4750 / X 4790 modernisés ont encore une décennie environ devant eux malgré la concurrence imminente des Régiolis.
La Caravelle
Les EAD à transmisson mécaniques (donc, les plus anciens) possèdent, côté échappement une persienne avec des volets horizontaux (EAD 330 kW - X4500 basé à Marseille, vu à Aixen-Provence, en 1970).
La Côte Bleue est située entre Martigues et l'Estaque.
Le chemin des douaniers.Entre mer, falaise et chemin ferroviaire, une très belle randonnée sportive rythmée au klaxon des petits trains qui passent, avec une petite plage magnifique en milieu de parcours. Au départ de la gare de Niolon, aller au bout du chemin des poseurs et attaquer le sentier. Dès le début, laisser ce premier viaduc dans son dos et suivre le vallon en montant. Après le petit pont suivre le flanc de falaise sur sa gauche pour arriver au fort de Niolon. Suivre la crête par le petit sentier, comme indiqué sur la carte pour rejoindre de nouveau la grande piste large. Prendre tout de suite le sentier sur la gauche pour redescendre dans le vallon. En bas de celui-ci, passer sous le tunnel piéton et arriver à un nouveau viaduc (la plage de l'Everine se trouve juste dessous, avec une vue imprenable sur l'île d'Everine). Juste après le tunnel, grimper les quelques rochers et suivre le chemin de fer, puis c'est tout droit jusqu'au petit port de Méjéan. Pour le retour, on reprend le même chemin jusqu'à la plage de l'Everine, de là, un sentier suit de nouveau le bord de falaise jusqu'au premier viaduc rencontré. Retour à la gare ! Autres idées de balade sur ce site web : http://cote-bleue.com
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HistoireDe 1581, Sausset-les-Pins est un quartier de la commune avoisinante de Carry-le-Rouet, c'est en 1908 que commence le processus de séparation, après des années de conflits aigus.
La première élection municipale saussetoise a lieu le dimanche 1er juin 1924 et l'installation du conseil municipal le dimanche 8 juin 1924, avec l'élection de Monsieur Adolphe Fouque, dont une rue du village porte son nom. Jusqu'en mars 1924, Sausset-les-Pins fait partie du territoire communal de Carry-le-Rouet. C'est un mouillage de pêcheurs (qui s'adonnent principalement à la pêche au thon) qui ne semble pas avoir donné naissance à un véritable village. Le développement s'est fait grâce à la villégiature "de proximité" (Marseillais). L'un des premiers à s'y établir est Jean-Baptiste Charles-Roux, industriel de l'huile et du savon qui fait construire son château en 1855, par Jean Letz, collaborateur d'Espérandieu. La demeure était accompagnée d'une ferme de style pittoresque (détruite) et de jardins qui descendaient jusqu'à la mer. La création de la ligne en corniche du P. L. M., vers 1915, accentue le phénomène. A la fin des années 1920, c'est un centre de villégiature estivale et hivernale, classé station touristique et dont les principaux revenus communaux proviennent de la location de propriétés. Toutefois ces maisons devaient être très modestes, car bien peu subsistent actuellement. L'urbanisation des quartiers côtiers date de l'après dernière guerre (années 1945-1969) et surtout de ces trente dernières années. La résidence Les Asragales (Boulevard Charles Roux) a été construite en 1966-1969 par l'architecte André Bruyère.
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Armorial de Sausset-les-Pins
Les armes peuvent se blasonner ainsi :
"D'azur à la mer ondée d'argent et du champ de quatre pièces mouvant de la pointe, au pin au naturel brochant et mouvant aussi de la pointe, adextré d'un dauphin d'argent et senestré d'un soleil d'or issant de la mer."
Etymologie Sausset-les-PinsL'étymologie la plus répandue de Sausset est "Salcetum", sol sec.
GéographieSausset-les-Pins est une ville où il fait bon vivre, qui est resté encore un village, bien que les impôts soient élévés, la proximité entre garrigues et mer, voies de circulation facile d'accès, un collège qui se trouve à l'embranchement de 3 communes : Carry-le-Rouet, Sausset-les-Pins et Carro.Situation géorgaphique de SAUSSET-LES-PINS
La Route Départementale française D9.
La Route Départementale D9 est issue du chemin vicinal de grande communication n°15 (créée en 1904), allant d'Aix-en-Provence à Martigues.
La voie rapide de la Côte Bleue a été ouverte en 2 temps :
- Ensuès-la-Redonne/Sausset-les-Pins : 10/1975,
- Sausset-les-Pins/La Couronne : 12/1975.
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